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Sur cette sombre affaire de bactérie tueuse, une idée : quid des OGM en ce cas? Le risque s'il m'en souvient, n'était-il pas justement de favoriser des mutations que l'on ne maîtriserait pas puisqu'en touchant au génome sans le connaître parfaitement -pour cela il faut un recul que nous n'avons pas, c'est à dire des générations d'espèces- on risque de toucher, un peu au pif, des caractéristiques ignorées de certains gênes, ou d'autres gênes que ceux que l'on veut modifier : c'est un peu comme un meccano qui ouvrirait un moteur très sophistiqué qu'il ne connaitrait pas très bien et qui pour le booster, remplacerait une pièce dont il suppose qu'elle commande la compression, et c'est bien le cas, notez-le, alléluia... sauf que cette pièce commande aussi autre chose et ça ce n'était ni prévu ni forcément visible tout de suite... Et voilà-t-y pas qu'il a touché les freins, merde Mimile, tu fais n'importe quoi quand t'es bourré. Or le génome du vivant est infiniment plus compliqué -et mal connu- qu'une bagnole. Juste une idée, quoi. http://cueillettes.blogspot.com
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